Alerte sanitaire sur la présidentielle
Après la pandémie de sarkomania de 2005, l’épizootie de ségomania qui a décimé des troupeaux entiers d’éléphants en 2006, voici l’épidémie de bayroumania qui touche indifféremment l’homme et l’animal.
Les symptômes sont simples. Le malade ne distingue plus sa gauche de sa droite. Il manifeste des goûts bizarres pour le terroir, la ferme, les tracteurs,… et a une phobie des clivages. Sa température sondée monte régulièrement et il n’est pas rare qu’il se prenne pour un phénomène. Son idée fixe de rassembler tout le monde peut entraîner des comportements extravagants.
Il n’existe actuellement ni vaccin, ni traitement. Les chercheurs des laboratoires PS et UMP sont sur les dents. Il suffit donc d’attendre quelques semaines pour voir si les troubles disparaissent ou au contraire si la maladie entre dans une nouvelle phase. Dans ce cas, consultez un politologue, un prêtre ou une voyante.